Pour faire tourner une Fondation, armateur du plus ancien voilier encore naviguant au Monde, qui imaginerait que quatre personnes suffisent ? Ce serait impossible sans le précieux concours des bénévoles. Aux côtés de ceux de la première heure, les pionniers, les bâtisseurs, les « bons, les sûrs, les solides », comme les appelait le commandant Jean Randier au début des années 80 et auxquels nous souhaitons rendre hommage aujourd'hui tant leur générosité et leur implication aura été incroyable, héroïque, inénarrable, n'oublions pas les bénévoles d'aujourd'hui, Marion, Thierry, Christine, Gilles, Elisabeth, Myriam..., la liste est tellement longue que je ne pourrais pas tous les citer, les passionnés des escales et du Nautic qui savent accueillir les visiteurs, monter la boutique Belem, témoigner, partager. Pensons également aux administrateurs - tous bénévoles- comme Nicolas, le président, qui ne passe un jour sans réfléchir à une nouvelle idée créative ou génératrice d'économies ou de recettes pour la Fondation. Ou bien encore les plus discrets, comme Laure qui a passé de nombreuses soirées à écrire l'histoire italienne du Giorgio Cini, Michel qui nous a bâti un plan stratégique pour repenser et optimiser la boutique ou qui modestement nous dépanne avec sa perceuse au Nautic, Alain qui trouve des solutions pour rendre possible l'accueil du bateau dans certains ports, Christine qui nous aide pour des tâches administratives et Eric qui prend déjà des contacts au Brésil... Un seul mot : MERCI à vous tous, chers bénévoles.
Sinon, quoi de neuf sous le soleil - intermittent - de la Seyne sur Mer ? Sorti rutilant de son carénage marseillais, le Belem se prépare à reprendre la mer pour Bastia, le tour de la botte italienne et la très attendue escale vénitienne. On regardera tous TOP CHEF sur M6, lundi 10 mars à 20h50 pour un épisode inédit tourné à bord du Belem, histoire de découvrir de splendides vues hélico sur les trois mâts au départ de Nantes et suivre les aventures gourmandes des 4 candidats en costume de « marins-cuisiniers » de l'époque. Ces chefs en herbe se relaieront pour cuisiner les bas morceaux de la pêche (abats, peau, têtes, arêtes...) comme cela était d'usage à l'époque des longues traversées maritimes. Christelle de Larauze Déléguée Générale |