Interview de Bernard Niglio, administrateur de la fondation Belem, représentant la CEPAC

Que représente le Belem à vos yeux ?

En ces temps où nous fêtons nos champions du monde, comment ne pas saluer la performance de ce prestigieux navire qui a su traverser non seulement les mers mais aussi le temps et toutes les épreuves auxquelles il a été confronté. Au delà de la performance, c’est bien la beauté du bâtiment qui impressionne ainsi que l’histoire qui l’accompagne.

 

Quel est l’engagement de la CEPAC auprès de la Fondation Belem ?

La CEPAC (Caisse D’Epargne Provence Alpes Corse) soutient la Fondation Belem financièrement mais elle participe également activement aux opérations qui sont menées sur son territoire lors de la présence du navire. La prochaine réunion du Conseil d'Orientation et de Surveillance de la CEPAC se tiendra, du reste, à Ajaccio en septembre 2018 lors de la présence de ce magnifique navire.

 

Quel est, selon vous, l’image du Belem en méditerranée ?

Le Belem n’a qu’un défaut : il n’est pas né en Méditerranée et pourtant nous ne lui en voulons pas. Je me souviens, avec émotion, de ce dimanche de septembre 2013 où 2013 bateaux naviguaient dans la rade de Marseille dans le cadre de la capitale européenne de la culture. J’etais à bord du Belem et nous étions suivis par une nuée de bateaux qui rendaient hommage à ce prestigieux bâtiment. Mais la Caisse d'Epargne étend ses activités bien au delà de la Méditerranée et son territoire est bordé d’océans où le Belem règne en maître.

 

 

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