Dans moins de 15 jours le Belem sera de retour dans son élément préféré, la mer, au large ! Avec près de 45 stagiaires à bord, c'est un beau week-end end de navigation pascale qui s'annonce. Prélude à un début de saison bien rempli.
Découvrir le Belem, en mer ou à quai
Démentant les constats du passé, les 5 stages méditerranéens du début de saison ont fait quasiment le plein : il ne reste que quelques places disponibles sur ceux du mois d'avril. Et si la météo leur fait la grâce de quelques belles journées, alors le bonheur de ces « téméraires » sera complet ! D'autant qu'après les cours de manœuvre et de matelotage, une nouvelle activité va être proposée aux stagiaires : la navigation à bord du misainier. Entièrement remis en état par l'équipage, et en particulier Gaël Hubert, le charpentier du bord, il pourra embarquer 2 à 3 personnes par petit temps, et leur permettre de découvrir les sensations de la manœuvre d'une petite embarcation.
Et pour ceux que le Belem fascine mais que la mer inquiète, 4 journées de visites publiques sont programmées les 4 et 5 avril à La Seyne sur Mer, et le 26 avril dans le Vieux Port de Marseille. Actuellement, la Fondation met la dernière main à une amélioration du dispositif de visites pour faciliter la circulation des visiteurs et mieux informer le public sur le navire. A ce propos, avant la fin du semestre, une nouvelle brochure de présentation du Belem et de son histoire viendra remplacer celle qui était en vente jusqu'à aujourd'hui, et dont le tirage est désormais épuisé. La nouvelle édition proposera beaucoup de novations et d'intéressants compléments sur l'histoire du navire.
Confort à bord : rénovation de la batterie
Après un long hiver de travaux, le navire se devait d'être paré de ses plus beaux atours : ce sera le cas. D'une part parce que l'équipage et les prestataires ont fait un superbe travail ; ensuite parce qu'il fallait marquer les 30 ans du retour en France du Belem, et que notre trois-mâts ne peut manquer d'exprimer, par la qualité de sa présentation, la reconnaissance qu'il doit aux Caisses d'Epargne pour les 30 années de mécénat qu'elles lui ont apporté...
Mais c'est aussi à l'intérieur du navire que les stagiaires trouveront de quoi profiter de cet élan de rénovation : box illuminés par une nouvelle peinture claire, nouveaux éclairages, et disparition des vide-poches en altuglas où s'évanouissaient hors d'atteinte petits objets et pièces de monnaie, remplacés par des filets moins agressifs (mais où bien sûr il ne faut pas déposer de pièces de monnaie...) Les planchers ont été poncés et vernis ; les parois de la batterie sont désormais revêtues d'un plaquage en frêne et l'ensemble des surfaces en bois a été revernie. Un ensemble plus clair, plus élégant, et nous l'espérons plus accueillant, agrémenté de surcroît par l'harmonisation d'une signalétique qui n'était pas toujours amène : ainsi va disparaître le funeste « interdit de fumer » en grosses lettres rouges qui a fait une dernière et humiliante apparition publique dans le reportage consacré récemment au Belem par Thalassa. Signalons aussi que le râtelier des moques a été déplacé, épargnant ainsi aux premiers box la certitude par temps de roulis de devoir supporter le tintamarre nocturne des tasses qui s'entrechoquaient. En un mot, beaucoup d'attentions qui sont autant de promesses de petits suppléments de bonheur.
Après un long hiver de travaux, le navire se devait d'être paré de ses plus beaux atours : ce sera le cas. D'une part parce que l'équipage et les prestataires ont fait un superbe travail ; ensuite parce qu'il fallait marquer les 30 ans du retour en France du Belem, et que notre trois-mâts ne peut manquer d'exprimer, par la qualité de sa présentation, la reconnaissance qu'il doit aux Caisses d'Epargne pour les 30 années de mécénat qu'elles lui ont apporté...
Mais c'est aussi à l'intérieur du navire que les stagiaires trouveront de quoi profiter de cet élan de rénovation : box illuminés par une nouvelle peinture claire, nouveaux éclairages, et disparition des vide-poches en altuglas où s'évanouissaient hors d'atteinte petits objets et pièces de monnaie, remplacés par des filets moins agressifs (mais où bien sûr il ne faut pas déposer de pièces de monnaie...) Les planchers ont été poncés et vernis ; les parois de la batterie sont désormais revêtues d'un plaquage en frêne et l'ensemble des surfaces en bois a été revernie. Un ensemble plus clair, plus élégant, et nous l'espérons plus accueillant, agrémenté de surcroît par l'harmonisation d'une signalétique qui n'était pas toujours amène : ainsi va disparaître le funeste « interdit de fumer » en grosses lettres rouges qui a fait une dernière et humiliante apparition publique dans le reportage consacré récemment au Belem par Thalassa. Signalons aussi que le râtelier des moques a été déplacé, épargnant ainsi aux premiers box la certitude par temps de roulis de devoir supporter le tintamarre nocturne des tasses qui s'entrechoquaient. En un mot, beaucoup d'attentions qui sont autant de promesses de petits suppléments de bonheur.
Programme à venir
Après le voyage vers le Maroc (pour lequel il reste des places : pour vous inscrire), qui sera présenté dans le prochain numéro du « Courrier », le Belem va revenir sur la côte atlantique française avec quelques stages en juin, mais surtout un gros programme en juillet et août qui affiche d'ores et déjà un fort taux de remplissage. Ce calendrier ne devrait plus guère être modifié, sauf sur la fin de la saison : du 29 septembre au 3 octobre, deux nouveaux stages seront ajoutés au programme entre Brest et Lorient.
Après le voyage vers le Maroc (pour lequel il reste des places : pour vous inscrire), qui sera présenté dans le prochain numéro du « Courrier », le Belem va revenir sur la côte atlantique française avec quelques stages en juin, mais surtout un gros programme en juillet et août qui affiche d'ores et déjà un fort taux de remplissage. Ce calendrier ne devrait plus guère être modifié, sauf sur la fin de la saison : du 29 septembre au 3 octobre, deux nouveaux stages seront ajoutés au programme entre Brest et Lorient.